Amaël Yefahlan

Prénom ◮ Amaël Nom de famille ◮ Yefahlan AGE PHYSIQUE ◮ 27 ans AGE RÉEL ◮ 867 ans LIEU DE NAISSANCE ◮ Eataine, la Cité Blanche, mais il a grandi à la tour de Thanan, à Saphery LIEU DE RÉSIDENCE ◮ Avelorn l'abrite, il y trouve la quiétude nécessaire MÉTIER ◮ Guérisseur SECRET ◮ Propriétaire de ce qu'il ose nommer un " dispensaire ambulant ". Un modeste bivouac installé entre deux souches, parfois à l'orée d'une caverne ou d'un cours d'eau, et dans lequel il reçoit des patients de toutes origines. Hauts Elfes, Elfes Sylvains et même Elfes de la Nuit et Drow pourvu qu'ils viennent en quête de soins. Notre guérisseur ne s'entache pas d'explications et se contente de faire oeuvrer sa magie bienfaitrice à qui en a besoin, ceci sans quémander de rétributions. En revanche, nul ne connait son patronyme. SITUATION ◮ Ame entichée de ses patients, mais bel et bien seul en ce qui concerne une quelconque ferveur amoureuse. Il ne jouit pas non plus d'une habitation fixe, bien qu'il daigne demeurer dans la forêt pour que ceux qui cherchent son aide puissent le trouver AVATAR ◮ Théo Theodoridis GROUPE ◮ Haut Elfe

QUALITÉS ◮ Bienveillant - Doux - Sensible - Affable - Altruiste - Humble - Bon Joueur DÉFAUTS ◮ Opiniâtre - Calculateur - Menteur - Sarcastique - Rebelle - Provocateur - Gourmand POURQUOI CE GROUPE ? ◮ Et pourquoi pas ? Bon, plus sérieusement, c'était simplement en rapport avec l'influence politique que devait avoir son père pour mieux être en mesure d'exercer une pression sur Amaël. Mais cela, vous l'apprendrez dans l'histoire.

ANECDOTE 1 ◮ Lorsqu'il n'était qu'un apprenti durant l'un de ses entrainements quotidiens sur les animaux, il a réussi à soigner la patte très endommagée d'un chien. Pour le remercier, celui-ci s'est hissé sur sa jambe et a tenté un coït... Autant dire qu'il a longtemps été récalcitrant à soigner un animal plus gros. ANECDOTE 2 ◮ Une fois où il était distrait, il s'est trompé dans la préparation d'une potion, et des chrysanthèmes se sont mises à fleurir sur son patient qui fut transformé en jardin ambulant. Il a hésité entre rire et pleurer, mais s'est promis d'être plus concentré à l'avenir. ANECDOTE 3 ◮ Son paternel lui a enseigné la haine des Elfes de la Nuit durant de nombreux siècles. Aujourd'hui, il vient en aide à certains d'entre eux, il aime l'ironie de la situation. ANECDOTE 4 ◮ Féru de bonne nourriture, quiconque lui mitonne de bons petits plats s'attirera sa reconnaissance éternelle.

l'histoire d'un Elfe

Une page griffonnée d’ébauches burlesques du journal d'Amaël Y. - Un jour de l'An 12791 – L’écriture y est irrégulière.

Cher Journal,

Demain sera le jour de mon premier siècle d’existence. Cent ans déjà, une durée incommensurable pour certains, l’aube d’une vie pour d’autres. Je ne suis qu’un sylphe dans la fleur de l’âge, et pourtant, je ressens cette nécessité de faire un point sur l’odyssée qui est mienne. Une bien piètre ode à l’aventure, je ne connais le sens de ce mot qu’à l’étreinte de mon imagination fertile, mais elle me suffit à m’évader de ma prison de cristal. Je n’ai jamais eu l’opportunité d’outrepasser les lisières de ces murs, de cette auguste tour qui me fait office de lieu pédagogique et de foyer. Je n’ai même jamais pu vanter la magnificence d’Eataine, cette cité où je naquis. Bien des merveilles me furent contées par les natifs en visite ou les anciens… Père m’a fait la promesse de m’y emmener, lorsque je serai prêt. Quand ? Je l’ignore. Il ne cesse de répéter que mon éducation demeure l’unique priorité, qu’un rôle important me sera un jour octroyé et qu’il me faudra alors en être digne. Je regrette parfois son austérité et le fait qu’il m’est confié aux soins d’Athran, mon précepteur, ici, à Saphery. Je ne puis me permettre une quelconque satire sur ce démiurge de la magie, je suis conscient de ma chance d’être devenu son apprenti, lui qui semble presque aussi sénile que le monde lui-même ! Il me donnerait un bon coup d’opuscule sur le crâne s’il pouvait lire cela, à force, les protubérances sur ma tête sont impossibles à compter… Suis-je le seul responsable si mon attention vacille parfois ? C’est un excellent professeur et je suis avide de nouveau savoir, bien entendu, mais je suis parfois las de ne faire qu’étudier. Au moins, puis-je espérer être un jour utile en me dévouant à la magie bénie. Bien que le choix ne me fût pas laissé, je suis heureux d’en être le disciple, je rêve de devenir un jour un guérisseur aguerri ! Père prétend que les mages curatifs sont à présent rares et que cela fait de moi un être unique. Un espoir pour l’avenir des Hauts Elfes ? C’est ce qui a convaincu ma mère de le laisser m’emmener ici. Elle me rend rarement visite, malheureusement, mais sans doute est-elle très occupée… Pourtant, même en étant Garde Phoenix, Père parvient à me rendre visite de temps en temps pour de courtes retrouvailles. Oh, je perçois les pas feutrés d’Athran arriver, mieux vaut que je me replonge dans mes ouvrages. Je me demande bien ce que l’avenir me réserve.

Une page surannée du journal d’Amaël Y. – Un jour de l’an 13016 – L’écriture y est appliquée.

Cher Journal,

Enfin ! Pour la première fois, me voilà en dehors des parois de la Tour de Thanan ! Lors de l’une de ses visites, Père m’a annoncé qu’il était temps pour moi de fouler ma terre natale, d’admirer le faste de la Cité Blanche ! Il me pense prêt à assumer mes dons curatifs, bien que selon lui, il me restera toujours quelque chose à apprendre. C’est pour cette raison qu’il a demandé à mon précepteur de nous suivre. Ce dernier n’a pas sué en vain, j’ai su être un glorieux épigone, si bien qu’il a accepté de m’enseigner les rudiments de la magie élémentaire. Je ne suis pas un grand maître de cette mysticité, ce n’est pas à l’aube de demain que je serai apte à maîtriser l’incandescence d’un incendie, mais je suis bien capable de faire danser quelques flammèches et de solidifier un verre d’eau – ce qui ma foi peut toujours s’avérer utile un jour de canicule. Il continuera donc à parfaire mon apprentissage au domicile familial, mais qu’importe, j’ai enfin pu humer l’air marin et badauder sur des sentiers fleuris. Un sentiment de liberté qui m’était jusqu’alors inconnu, ô, liesse ! Cela fait plusieurs jours à présent que je suis à Eataine, à la suite d’un succinct temps d’adaptation, Père me fit faire la connaissance de personnalités influentes de la Cité – Nul étonnement, c’est en jouissant de ses accointances qu’il a su me trouver un tel précepteur. Ce fut l’occasion de prouver la bienfaisance de ma magie… Quel sentiment ineffable que celui qui vous envahit lorsque l’œillade soulagée du souffrant vous chante vos louanges de son simple regard. J’ai su alors que l’on m’avait orienté vers la bonne route, celle que je prendrais plaisir à suivre. Nulle pénombre au tableau, je ne me suis jamais senti si épanoui… En guise de cerise sur le gâteau, la fille de nos voisins semble propice aux marivaudages. J’ignore si ce n’est là que toquade, mais je me surprends à songer inconsciemment à ses lippes charnues… La vie m’est charitable !

Une page froissée du journal d’Amaël Y. – Un jour de l’an 13191 – L’écriture y est à moitié effacée.

Cher Journal,

Je sens l’éreintement me submerger et la culpabilité me ronger les viscères lentement. Les temps ne sont plus les mêmes, tant de circonstances ont changé. A mon arrivée à l’Eataine, je pensais que mon avenir ne serait qu’une mélopée d’altruisme. N’est-ce pas là le devoir de tout bon guérisseur qui se respecte ? Prodiguer les soins à qui en a besoin. Pourtant, la déontologie de la Cité semble s’opposer à ces principes, et me voilà avec la stricte interdiction de panser les plaies des prisonniers… Peut-être devrais-je conter les faits avec un semblant d’ordre. Aux prémisses de ma carrière je pouvais me vanter venir en aide à des personnes distinguées en toute légalité, bien que pour Père, cela n’était jamais suffisant. Rapidement, les soubassements de l’édifice qui me semblait si parfait, me furent révélées. Progressivement, je fus amené au chevet de personnages suspects, peu fréquentables même pour le plus simple d’esprit : des mercenaires, des serviteurs soudoyés, et bien d’autres. C’est alors que je compris, en dépit de son allégeance au Roi Phoenix, Père ne se suffisait plus à sa besogne de garde et trouvait leur ordre bien trop lymphatique. Désirant se faire seigneur d’une cause que beaucoup espéraient dans l’ombre, il se joignit à une organisation secrète, rassemblée pour partir en croisades contre tous les autres peuples d’Ulthuan. Bien malgré moi, je fus enrôlé pour cette cause que je ne parvenais pas à comprendre et érigé au rang de guérisseur pour les blessés revenus d’escapades. Fréquemment, ils reviennent avec des captifs, des Elfes Sylvains innocents et des Elfes de la Nuit certes condamnables, mais néanmoins Elfes, comme nous. Sont-ils donc tous répréhensibles ? Ils refusent que je soulage leurs affres, Père prétend qu’ils ne méritent aucune miséricorde pour leurs actes passés. Ils leur font subir mille tourments pour leur extorquer des informations, ou simplement pour le malsain plaisir de le faire. En découvrant cette réalité sur mon géniteur, je fus également ébaubi en voyant Athran user de sa magie pour apporter d’avantage de souffrances aux prisonniers. Je suis… Perdu… Ils savent sans doute mieux que moi ce qui est juste de faire pour l’avenir de notre monde, et pourtant… L’opprobre m’étrangle chaque jour un peu plus, je ne peux me résigner à cette vérité que l’on me force à accepter. De plus, je commence à me questionner quant à mon rôle dans tout cela… Ma présence était-elle préméditée depuis le commencement ? Est-ce pour cela que je fus envoyé à la Tour dans le dessein de devenir mage, pour servir cette cause et suivre les exigences de mon paternel quoi qu’il advienne ? Je ne sais plus… Je suis épuisé… Cette mascarade ne pourra durer éternellement, que se passera t-il lorsque nous serons découverts… Je crains que le Roi nous fasse châtier, voir occire, s’il apprenait qu’un groupe d’irréductibles menacent le semblant de quiétude dans le monde sans son approbation…

Une page souillée de sang du journal d’Amaël Y. – Un jour de l’an 13193 – L’écriture y est presque illisible.

Cher Journal,

La providence m’a définitivement abandonné… Me voilà dans le plus profond des terriers, plus bas que terre, rangé au rang d’insecte nuisible dans cet univers. Je sens mes forces me quitter et la narcose poindre pour m’emporter de ses blandices empoisonnées. La douleur était atroce, puis elle s’est muée en simples martèlements irréguliers. Le sang continue lentement de fluer le long de la roche glaciale sur laquelle je suis alité, mon sang… La dague est plantée si profondément dans ma cuisse que je ne parviens pas à l’extirper, et de ce fait je suis incapable de panser l’écorchure. Quelle ironie… Les risques sont proportionnels au métier, je suppose. Je savais que cela pouvait se finir ainsi en prenant part à cette formidable escouade, mais ils avaient besoin de mes talents, disaient-ils. Quelle lubie saugrenue que de vouloir lancer une offensive contre les Drows sur leur propre terrain, nous courrions droit à notre perte. Je ne puis que me sentir stupide d’ainsi agoniser à l’orée de cette grotte, au centre d’une sépulture improvisée avec les macchabées de mes compagnons d’arme. Tous massacrés, le guet-apens avait été minutieusement préparé… Peut-être que si Père et Athran avaient été là, les choses auraient été différentes… La conjecture ne me sera pas d’un grand réconfort, et j’ai peur d’écrire là le dernier chapitre de ma vie. Où que j’aille j’emmène mon journal, je souhaite qu’une âme charitable puisse mettre la main dessus pour savoir, pour que la cause de mon décès ne demeure pas inconnue. Mais qui donc oserait s’aventurer en ces lieux, si ce ne sont des inconscients tels que nous, je me le demande… Mes membres tremblent et je commence à être assailli par le froid, mes paupières sont devenues les réceptacles de poids contre lesquels je m’obstine à lutter. Mais je sens que c’est la fin…

Une page encrassée du journal d’Amaël Y. – Un jour de l’an 13301 – L’écriture y est grossière.

Cher Journal,

Parfois, j’ose me demander pourquoi je n’ai pas succombé après avoir tant de fois frôlé la mort ce dernier siècle. A croire que les esprits me tiennent rancune d’empêcher certains de les rejoindre. Si je me pensais exploité il y a si longtemps, par Père et son organisation anarchiste, je ne suis à présent plus qu’un esclave sous le joug des Drows. Toute logique aurait voulu qu’ils m’ôtent le semblant de vie qui flamboyait encore en mon être lorsqu’ils m’ont retrouvé, lors de cette sorgue que je pensais être la dernière. Seulement, l’interrogatoire destiné à m’extorquer des informations fut finalement soldé par un grand intérêt de la part de mes ravisseurs. L’une des prêtresses fut intriguée par la panacée que je produisais, nul doute que ce n’est pas tous les jours qu’ils croisent le chemin d’un mage, spécialisé dans la guérison qui plus est. Je commence à comprendre à présent, pourquoi Père disait que j’avais un rôle important à jouer. Je suis donc voué à n’être que marionnette, pansant les plaies toutes plus atroces les unes que les autres, presque sans un instant de répit. Celle qui m’a pris à sa botte, que je me dois de nommer Madame, est d’une beauté transcendante. Ses lorgnades me transissent d’effroi, je sais qu’elle est seul juge sur ma vie, que d’un battement de cils, d’une simple moue de ses lèvres mutines, elle peut m’en déshériter. Je suis devenu son jouet et elle se plait à ne pas que j’omette ce détail. L’avenir me laisse incertain, trop nébuleux pour que je puisse y exercer une quelconque clairvoyance. Cependant, je m’affaiblis… Madame semble oublier que la magie n’est que fluctuation des émotions de son détenteur, aussi l’harassement se met-il à l’antagonisme de ma concentration. La semaine dernière, l’asthénie était telle que je n’ai pas pu régénérer l’épiderme de ce partisan mutilé, il a finalement agonisé dans mes bras. Je fus châtié pour mon échec, Madame s’en est vue contrariée. Bien que ce défunt soit l’un de mes détracteurs, je ne peux m’empêcher d’être submergé de regrets de n’avoir pu le sauver… Mais pire encore, je crains que les morts ne se succèdent d’avantage si je ne prends pas un peu de repos. Je cours à ma perte, et j’en ai assez d’être étrillé par tous ceux qui pensent pouvoir m’utiliser à leur grès. Je refuse ! C’est risqué, mais je pense avoir suffisamment gagné la confiance de Madame pour avoir une opportunité de m’évader. J’ai pu mettre la main sur quelques plans de ces tunnels qui nous abritent, j’ai repéré une sortie facilement accessible. Si par malheur, j’échoue, je n’ose même songé à la sanction qui m’attend… Mais je dois essayer. Il est temps que je prenne ma vie en mains.

Une page partiellement consumée du journal d’Amaël Y. – Un de l’an 13302 – Le texte est écrit en diagonal.

Cher Journal,

Une brève note dans la hâte des évènements. J’y suis parvenu, je me suis échappé des souterrains des Drows ! Non sans mal, il m’a fallu user du peu de magie élémentaire que je maîtrise pour semer mes poursuivants. Me voilà donc couvert de suie et blessé par l’épée au niveau de mes côtes, mais je suis bien en vie. Après d’innombrables jours de marche, je suis rentré à Eataine, j’avais presque omis ses somptueuses bâtisses et les effluves de son marché. J’ai ouï-dire qu’un Garde Phoenix avait été condamné à mort après qu’un réseau d’extrémistes se soit fait démanteler. Il s’agit de Père, j’ai aperçu notre domaine aux mains des autres Gardes. J’ignore ce qu’il est advenu de Mère, ni même d’Athran, même si je soupçonne ce dernier de s’être enfui avant le coup d’éclat. Peut-être est-il rentré à Saphery ? Qu’importe, je n’ai plus ma place dans la Cité, je suis dans la direction d’Avelorn, dans l’espoir que la forêt daigne m’accueillir.

Une page blanche du journal d’Amaël Y. – Un jour de l’an 13558 – L’écriture y est soignée.

Cher Journal,

Cela fait longtemps que je n’ai pas écris, la relecture de mes anciens écrits a redirigé ma douce poigne jusqu’à la plume de mon écritoire. Je me suis fait la promesse solennelle que je serai l’aliéné de ma seule volonté, à présent. Si mon passée me laisse un goût d’amertume, c’est maintenant avec la tête haute que je marche. Je suis à présent chez moi là où j’installe mon bivouac, l’arôme et la sérénité de la nature sont l’essence de mon bien-être et de celui de mes patients. Je me suis enfin trouvé un but à honorer, j’ai décidé de m’émanciper, je ne sers les causes d’aucunes nations, d’aucuns seigneurs. Je suis au service de ceux qui en ont besoin, je ne fais aucune distinction sur les origines des malades. A dire vrai, moins j’en sais, mieux je me porte. Je suis conscient que mes activités peuvent aller à l’encontre de l’éthique de certaines personnalités importantes, je ne suis à l’abri de personne, ni des Gardes Phoenix, ni des Elfes de la Nuit. Quant aux Drows… Madame sait peut-être ce que je suis devenu… Dans ce cas, j’ignore si elle escompte me récupérer un jour. Quiconque menacera mon dispensaire goûtera à mon courroux, je ne suis plus le jeune sylphe crédule que je fus autrefois. Mes patients sont ma famille, tout autant que les arbres et les créatures qui peuplent cet éden. Je vais avoir besoin d’encre, si je souhaite continuer de relater l’odyssée d’un guérisseur !



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Mes convictions.

QUESTION 1 ◮ Comment considérez-vous les autres nations elfiques ?
Amaël s'évertue à demeurer le plus neutre possible. Il appartient aux Hauts Elfes de par sa naissance mais trouve la majorité de ce peuple outrecuidante, et n'y a de toute façon plus son honneur. Il se méfie tout autant des Elfes de la Nuit et surtout des Drows qu'il connait bien, mais à y réfléchir, tous se ressemblent dans leurs péchés. Il n'y a guère que les Elfes Sylvains qu'il apprécie à leur juste valeur, nation à laquelle il aurait aimé appartenir, ce qu'il estime être partiellement le cas depuis son arrivée dans la forêt.
QUESTION 2 ◮ Avez-vous participé à la Déchirure ? Si oui, de quelle façon ?
Non, il n'avait pas encore vu le jour.
QUESTION 3 ◮ Si un animal devait vous représenter, quel serait-il?
Le monde de la faune l'aurait accueilli en tant que lionne. Non, pas un lion ! Une lionne, celle qui prend soin de tous les petits de la tribu, même s'ils ne sont pas d'elle. Puissante et fière, c'est une mère de sagesse et une excellente chasseresse.
QUESTION 4 ◮ Quelles sont vos ambitions futures ?
Etablir un dispensaire plus grand, et surtout légal, une utopie qu'il garde pour lui.
QUESTION 5 ◮ Quelles sont vos plus noirs secrets ?
Il a oeuvré pour des anarchistes sous l'influence de son père, époque qu'il regrette particulièrement. Il a aussi été l'esclave des Drows pendant plus d'un siècle avant de s'échapper, puis il a appris que son nom avait été déshonoré aux yeux de tous.
QUESTION 6 ◮ Avez-vous jurez allégeance à l'un des souverains de Ulthuan ? Pourquoi ?
Absolument aucun, Amaël est tout sauf un dévot. Il a trop longtemps fait l'objet de manipulation d'une nation, puis de l'autre, pour aujourd'hui décider de servir l'un d'entre eux. Il a certes une grande déférence envers la Reine Eternelle, mais il est son propre démiurge.
QUESTION 7 ◮ Quels sont vos passes-temps ?
Exercer son art curatif, le plupart du temps. Confectionner des remèdes et étudier les documents et ouvrages sur lesquels il met la main. Il aime également apprendre de ses diverses rencontres.
QUESTION 8 ◮ Quelle est la plus belle région d'Ulthuan selon vous et pourquoi ?
Avelorn est la terre promise, selon lui. Il a eu l'opportunité de voyager et de vivre dans divers endroits d'Ulthuan, mais seule cette forêt lui procure une sensation d'appartenance. Il se sent en harmonie parmi la nature, et c'est un endroit parfait pour se cacher.
QUESTION 9 ◮ La plus grande peur que vous ayez ? Pourquoi ?
Sa Maitresse Drow, Athran, les Hauts-Elfes, les Elfes de la Nuit ? Qu'importe l'origine du moment que l'on se fait prépondérant. Amaël a peur d'être à nouveau asservi comme ce fut par deux fois le cas. Il n'est pas certain de survivre à une vie d'esclave, encore.
QUESTION 10 ◮ Pensez-vous qu'il est possible de retrouver l'âge d'or que les Elfes ont connu durant un temps et d'avoir à nouveau, un peuple uni ?
Il l'espère, en rêve parfois, c'est là la raison pour laquelle il ne fait aucune distinction parmi ses patients, comme un pas vers cet idéal de l'âge d'or.

la personne derrière l'écran

PSEUDO : Mh... Kiwi, peut-être ? PRENOM ◮ D'abord les infos, et ensuite on va boire un verre ? AGE ◮ Malpoli !... 19 ans COMMENT AS-TU DÉCOUVERT LE FORUM ? ◮ Par un partenariat QU'EN PENSES-TU ? ◮ J'aime beaucoup, je ne savais pas bien ce que je recherchais en premier lieu, et pourtant je suis tombé sous le charme de ce fofo vraiment récent apparemment. L'ambiance a l'air bonne en plus =3 Si je puis me permettre cependant, le fond du forum est peut-être un peu trop neutre et il y a deux trois fautes d'inattention qui se promènent dans certains descriptifs ( rien de grave, ohlala ! ) AUTRE CHOSE ? ◮ Mon thé est froid...